Avec le retour des beaux jours, c’est le moment de partager quelques raretés déconcertantes, nichées au cœur du territoire.

La curiosité est souvent le meilleur des guides quand on arpente un territoire que l’on croit connaître. À force de parcourir les mêmes chemins, on oublie parfois de s’attarder sur un arbre, un bâtiment, un paysage qui nous semble familier et dont nous ignorons tout. Il s’agit le plus souvent de changer de point de vue pour goûter à l’inattendu et se laisser surprendre. Avec ses 71 communes, la mixité de ses ambiances et de ses décors urbains et ruraux, la métropole ne manque pas de ressources en la matière.

Certaines raretés à portée de vue, d’autres plus discrètes et souvent liées à des anecdotes, parfois très anciennes, mais aussi contemporaines. Une coupole byzantine, des œuvres d’art égarées, une chapelle de roche et chaume, de vieux arbres endormis, les vestiges d’une écluse qui se souvient des bateaux à vapeur... Autant de pépites qui constitueront avec les joyaux emblématiques du territoire, le terreau de la candidature portée par la Métropole Rouen Normandie au titre de capitale européenne de la culture en 2028. Cette initiative lancée en début d’année s’appuie en grande partie sur la participation, l’engouement et l’engagement des habitants du territoire. Quelle meilleure manière de soutenir cette candidature que de contribuer à valoriser aussi les richesses les plus confidentielles et les plus singulières ?

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